le "marchand de biens"...

Invité

Le levé du jour s'était fait il y avait de cela déjà six heures. Des habitations la nourriture chauffante se sentait, et sur la place, le monde de personne était bien moins grand que de onze heures, mais le nombre était quand même bien grand. Alors que le troc se faisait, sur le chemin principal qui menait de la porte au marché, un homme monta jusqu'à ce dernier, sur son chariot. Arrivé sur la place, il s'y installa et plaça son chariot au centre. L'homme se leva et monta dans son chariot. Des deux côtés, les "murs" du chariot tombèrent tel un étable de vente. Armes, armures, flèches et carreaux, en rendez-vous sur un côté. De l'autre, de la nourriture, des potions et des filtres magiques, ainsi que des objets mysterieux. Quelques habitants, certains étaient des riches, d'autre des mercenaires. Avec cet homme étrange, deux jeunes hommes, très jeunes, d'ailleurs, à imaginer des ados, s'occupaient de vendre et de faire vendre. L'homme, vêtu d'un vêtement religieux, caché par sa capuche descendit de son chariot allant en direction d'un bar...

Le soleil était à présent haut dans le ciel, la grande place de Carvahall était bondé de monde, même si celle-ci parraissait moins bondée que d'habitude. Haldir était dans la grand place et se promenait tranquillement, son dragon l'attendait aux abords de la ville. L'Elfe passait et repassait devant les marchands, sans pour autant acheter quelque chose de leur marchandises.
Un nouveau commerçant arriva avec sa charette, il la placa au centre de la place et laissa deux jeunes garçons s'occuper des affaires. Haldir l'avait suivis jusqu'au bar ou celui-ci s'était rendu, il avait aperçut un objet qui pourrait lui être utile.

" C'est à vous le charriot ?! " demande Haldir en regardant l'homme.

Invité

Dans ce bar, il était assez calme mais semblait cependant n'avoir que des ivrognes et des vieillards. Arrivé au comptoir, par la démarche d'un homme confiant et sur de soi, l'homme déposa trois pièces d'Or et commanda du vin. Attendant le verre arrivé, il se retrouva face à un homme qui venait de dehors et qui l'interpella. Ce dernier lui demanda si il lui appartenait le charriot. Sans aucun doute, l'inconnu face à l'homme parlait bien du sien, au centre de la place. Son regard certe caché par sa capuche, son sourire malsain fit remarquer. Il se retourna au même moment que le verre arriva, avec un sourire du barman.

"Bien deviné. Pourquoi cela ? Quelque chose vous interesse ? Ou vous comptez me renvoyer d'ici car je n'ai pas d'autorisation de m'y stationner ? Je pensais qu'on était sur les terres libres ?"

L'homme qui parlait lentement mais sans se faire couper la parole but une gorgée du vin avant de se retourner face à l'elfe.

"Veuillez me pardonner, je suis assez contrarié depuis que je suis revenu en terre libre. Oui, il est bien à moi. En quoi puis-je vous aider ?"