Souhaitez vous incarnez un personnage principal.
Non
Dans quel camp aimeriez vous être.
Le camp de la lumière
Quel personnage.
1 Une dragonniere elfe(ben eho les fille aussi non ? mdr si c’est possible)
2 une elfe
3 juste humaine
Une colline, au loin des ruines, quel paysage magnifique et magique. Il fait bon, le soleil est au beau fixe, un petit vent frais fait bouger les long cheveux de mélissandre qui n’est encore qu’une enfant, une enfant rêveuse, qui rêve de changer le monde, d’aider les homme a vaincre le coté de l’ombre. La fillette marche lentement le long de la colline, laissant un bruit d’herbe souiller parcourant ses oreilles, au loin elle entend des cris, elle n’a qu’à relever la tête pour remarquer qu’il s’agit de dragon. Elle se laisse emporté par ses pensées encore une foie. Un jour deviendrait’elle dragonniére ? Elle le sait que c’est très dur, tout d’abord il faut trouver un œuf et le faire grandir, puis les femmes ne sont peut être pas accepté. En tout cas, si c’était le cas, elle se changerais en homme ou plutôt se déguiserait, elle veut vraiment y arriver. Une grosse voie se fait entendre se qui provoque un sursaut sur la jeune fille, c’est la voie de son père qui l’appel, pour faire les corvets qu’une femme doit accomplir. Mélissandre ronchonne, si ça continue comme ça , elle ne pourra jamais réaliser son rêve de Dragonnier….
La jeune fille se dirige donc vers la maison de ses parents, se sont de simple villageois tout ce qu’il y a d’ordinaire. Elle s’attelle a sont travail, son père la regarde, il sait que sa fille est une rêveuse.
- encore entrain de rêvasser ?
Mélissandre lui jette un coup d’œil sans lui répondre, il a sûrement raison, doit ‘elle regarder la réalité en face et se dire qu’elle ne le sera jamais. Non ? La gamine n’en a pas envie quand on veut quelque chose on peut. La voie de son père se fit de nouveau entendre.
- pff toi et tes rêves, tu ferais mieux de travailler à l’école et ici , plutôt que d’aller rêvasser sur la colline, c’est une perte de temps !
Mélissandre ne réponds toujours, rien, si jamais elle avait la désobligeance de répondre, comment son père le prendrait’il ? La petite se contente donc d’essuyer la vaisselle, regardant de temps en autre sa mère, qui lui fait de petit sourire pour la rassurer.